Chegada por email, enviada pela Maria da Conceição
Morais Sarmento, que com certeza, tal como eu, achava que tanta devoção
respeitadora, num país de tanta liberdade de culto, não acontecia na tão doce
França da Revolução fraterna:
La femme d'un pasteur attendait un bébé
Le pasteur, se tenant devant l'assemblée de ses fidèles, leur demanda une augmentation...
Après de longues discussions, ils adoptèrent la règle que chaque fois que la famille du pasteur s'élargirait, ils augmenteraient son chèque de paie.
Au bout de 6
enfants, il commençait à coûter cher et l'assemblée décida de tenir une autre
réunion pour discuter d'une augmentation de salaire.
Beaucoup de
discussions animées suivirent : combien d'autres enfants le pasteur pourrait-il
encore avoir et combien ça finirait par coûter?
Après les
avoir écoutés pendant environ une heure, le pasteur se leva de sa chaise et dit :
:
« Les enfants sont un don de Dieu, et nous en prendrons autant qu'il nous en donnera. »
« Les enfants sont un don de Dieu, et nous en prendrons autant qu'il nous en donnera. »
Le silence
tomba sur l'assemblée.
À
l'arrière-banc, une vieille dame, ayant du mal à se tenir debout, se leva et
enfin dit de sa voix frêle :
« La pluie aussi est un don de Dieu, mais quand nous en
recevons trop, nous portons des " imperméables"... »
Toute l'assemblée répondit :
« Amen!...
»
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